L’Anantana Dhigu Resort & Spa : le tourisme responsable aux maldives ...

Longtemps montrée du doigt, l’industrie du tourisme tient peut-être sa rédemption : le tourisme responsable. Exit l’indécence et le sans-gêne d’une consommation à outrance dans les pays du Sud. Place à des voyages raisonnés, en adéquation avec la nature, les modes de vie et populations locaux. Simple greenwashing d’une activité intrinsèquement polluante ? Dans une certaine mesure, oui, un avion carburant toujours au kérosène. Mais au-delà de certaines limites, ce tourisme écologique correspond aujourd’hui à une réalité de faire du tourisme autrement, et concrètement. Un nouveau paradigme que nombre de labels essaient de certifier pour plus de reconnaissance.

Les Maldives. Au-dessus de l’eau turquoise, de luxueuses villas en bois sur pilotis. Les grandes baies vitrées donnent sur l’horizon tandis que dans la salle de bain, un plancher en verre laisse entrevoir la mer et le sable fin. Un petit paradis pour voyageurs en quête de dépaysement.
Et pourtant. Ce petit bijou hôtelier n’en est pas moins soucieux de préserver l’environnement fragile de l’archipel : énergie solaire, recyclage des eaux usées, produits d’entretien biodégradables. L’eau est chauffée à partir de la climatisation, l’hôtel possède son propre potager et s’est engagé dans un programme visant à préserver les tortues de mer, symboles de la biodiversité des Maldives.
L’Anantana Dhigu Resort & Spa appartient à cette nouvelle génération de complexes touristiques se réclamant du tourisme responsable. L’objectif : appliquer à l’activité touristique les principes du développement durable. Autrement dit, la prise en compte de ses impacts économiques, sociaux et environnementaux.
Avec près d’un milliard de voyageurs internationaux chaque année – un milliard et demi attendus d’ici 20 ans – l’enjeu est de taille. Près de 9 % des émissions de gaz à effet de serre au niveau national proviennent du tourisme. La palme de l’activité la plus polluante revient, sans surprise, au transport. Juste derrière : la consommation énergétique des bâtiments, climatisation et piscine chauffée payant un lourd tribut.
Alors que l’écologie et la volonté d’échanges commerciaux plus équitables ont fait leur chemin dans les esprits, le besoin d’une action concertée s’est peu à peu fait sentir. L’Organisation mondiale du tourisme s’est emparée de la question dès 1999, en rédigeant le premier code d’éthique du tourisme. Celui-ci n’a bien sûr pas valeur d’obligation, mais la dynamique est lancée. La France suit de peu en publiant un an plus tard sa propre Charte du tourisme éthique.
Plus de croyants que de pratiquants
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